Matthew J. Offen

Les épreuves ont fait de Matthew un personnage d'un calme terrifiant. Le jeune allemand est omibulé son désir de protéger sa soeur des perfidies du monde impitoyable qu'est la haute société. Il se comporte en parfait gentleman, mais derrière son sourire courtois se dissimule un homme cynique. Ses longues études lui confèrent une écriture très stylisée, qu'il dévoile dans ses traités de réflexion sur la situation politique du Royaume d'Angleterre.

Matthew J. Offen est né de l'union du diplomate Friedrich R. Offen et de Katrin F. Warlier dans la ville d'Heidelberg, en confédération germanique. Il suivit un enseignement politique à l'université d'Heidelberg. Alors que son père patriote participait aux éléctions d'une assemblée constituante, Matthew prit la fuite à l'âge de 21 ans pour la ville de Berlin. Guidé par ses idéaux révolutionnaire, il y s'engageait aux côtés des révoltés contre l'armée de Prusse. Blessé par balle au cours des affrontements, il fut reconduit et soigné dans sa deumeure familliale, à Heidelberg. Son père Friedrich R. Offen jura alors, dans la fureur de la trahison, de déshériter le jeune Offen et de reconduire son éducation politique. Après des nuit de pleurs et de lamentations, sa mère Katrin étouffa son mari dans son sommeil. Rongée par le remord, elle se jeta du haut de pont Karl-Theodor quelques jours plus tard. Matthew n'avait alors qu'une obsession : protéger sa soeur Peneloppe, alors âgée de 8 ans. Héritant de l'empire commercial de son père, nottament de la compagnie d'import/export Offen & Co., le jeune allemand prit sa seur cadette sous son aile et partit pour Londres, pour s'y reconstruire une vie.